Quel que soit l'avocat choisi, le risque zéro n'existe pas. Il est important que vous disposiez d'une assurance de protection juridique. Elle couvrira les frais du procès selon les conditions défini par le contrat. Attention que la plupart des assurances ne couvrent les frais de déplacements ainsi qu'une éventuelle condamnation au titre de l'article 700. En tout état de cause, vous devez l'avoir souscrite avant que les échanges avec le constructeur deviennent litigieux.
L'assurance refuse en général la prise en charge d'un litige s'il a débuté avant la souscription du contrat de protection juridique. Il peut même y avoir un délai de carence : lisez le contrat en détail.
L'assurance de protection juridique vous laisse libre de choisir votre avocat.
Nous vous conseillons de choisir un avocat maîtrisant la problématique des racketiciels.
Une protection juridique est parfois incluse dans une police d'assurance plus générale (habitation, carte bancaire, etc). Sinon, souscrivez une assurance spécifique. Le coût typique d'une telle police d'assurance est d'un peu moins d'une dizaine d'euros par mois (et elle peut vous servir en d'autres occasions). Attention au montant du seuil d'engagement.
Si vous êtes membre de l'AFUL, vous pouvez consulter la liste de quelques compagnies d'assurance que nous avons sélectionnées.
Conseil National des Barreaux :